Aucune expiation n’est à faire par celui qui est animé de l’intention de faire un sacrifice, s’il lui arrive de se raser les cheveux après l’entrée des dix premiers jours du 12e mois lunaire

Est-il une condition de validité du sacrifice que la bête soit égorgée par un musulman ?

Celui qui est mandaté pour immoler un sacrifice est libre de se raser la tête au cours des dix premiers jours du 12eme mois lunaire

Le meilleur sacrifice par rapport à son espèce et à ses qualités

Celui qui se rase pendant les dix jours se trompe mais son sacrifice reste valable.

Le pèlerinage de l’enfant ne se substitut pas à celui prescrit à l’adulte

Comment établir les parts du mouton sacrifié destiné à la consommation et à l’aumône